Le soufflé est retombé aussi vite qu'il avait gonflé. Lancé dans le sillage d'une statue de CZ à Washington, un memecoin "hommage" a flambé avant de s'écraser en quelques heures. Entre désaveu public, soupçons techniques et panique des premiers acheteurs, l'épisode rappelle une règle simple : quand l'histoire va plus vite que la due diligence, l'addition est salée.

Solana fait à nouveau vibrer les radars du marché. Après un été en demi-teinte, les baleines réapparaissent, les volumes gonflent, et les carnets d'ordres se rééquilibrent en faveur des acheteurs. Loin d'un simple sursaut spéculatif, ce retour de capitaux lourds semble s'appuyer sur des données solides : hausse du TVL, explosion des volumes DEX et regain d'activité sur les projets on-chain.

Berlin s'enflamme : l'AfD veut que l'Allemagne se dote d'une réserve nationale en Bitcoin. Un choc politique et symbolique à la fois. L'idée ? Protéger la souveraineté financière du pays face à l'érosion monétaire et à la toute-puissance du dollar. Audacieux ? Oui, mais pas isolé. Dans le monde, plusieurs États expérimentent déjà l'intégration du Bitcoin dans leurs coffres, comme une assurance face à un système monétaire jugé à bout de souffle.

135 millions de dollars viennent de se poser sur Ethereum et les "baleines" se remettent à l'achat. Coïncidence ou vrai changement de régime ? Quand les très gros portefeuilles bougent, c'est rarement pour jouer un scalp : ils prennent position avant la foule, surtout quand l'écosystème retrouve du souffle. Entre flux entrants, signaux on-chain et appétit pour les actifs de qualité, ETH renoue avec un momentum que beaucoup disaient « grippé ».

La chasse aux "x100" ne se gagne pas en suivant la foule. Elle se gagne en amont, quand les volumes sont encore timides, que les équipes livrent en silence et que le marché se reconstruit.