Le Bitcoin est passé, un court instant, sous le seuil symbolique des 100 000 €. Un chiffre qui apeure les investisseurs. Notamment après un été dans le vert, où tout semblait acquis. Pourtant, à y regarder de près, cette chute n'a rien d'un effondrement.
OpenAI n'est plus seulement "la boîte derrière ChatGPT". La société est en train de se préparer pour ce qui pourrait être l'une des plus grosses introductions en Bourse de l'histoire : une IPO avec une valorisation qui flirte avec les 1 000 milliards de dollars. À ce niveau, OpenAI entrerait directement dans le club ultra fermé des mastodontes aux côtés d'Apple, Microsoft ou Nvidia. Derrière le chiffre qui fait tourner les têtes, il y a des enjeux très concrets. Dépendance à quelques gros clients, coûts de calcul délirants, modèle économique encore en construction… et un marché actions qui surfe déjà à fond sur le thème IA.
En octobre, Bitcoin a décroché de près de 15 % en quelques heures. Liquidations en chaîne, carnets qui se vident, traders pris à contrepied… le scénario classique du krach. Sauf que cette fois, un acteur a joué les amortisseurs : les prêts adossés à Bitcoin. Plutôt que vendre dans la panique, une partie des investisseurs a préféré déposer ses BTC en garantie pour emprunter des liquidités, traverser la tempête et rester exposée à un éventuel rebond. On a frôlé la casse, mais le système a tenu.
La question tourne partout sur X : jusqu'où peuvent aller les gros altcoins du moment ? Certains analystes voient BNB filer vers 1 500 $, d'autres parient sur un Solana à 500 $ si le marché repart en mode bull run agressif. Mais pendant que les gros caps se battent pour un x2, un autre nom circule dans tous les threads "degen" : Digitap ($TAP), une prévente orientée paiements et cartes crypto, déjà présentée comme un potentiel x50–x100 par les plus optimistes.
Bitcoin n'est pas coté en bourse, mais il se comporte de plus en plus comme une IPO silencieuse. Prix qui stagne, volatilité sous la surface, et surtout un gros mouvement de fond : les anciens holders allègent pendant que de nouveaux investisseurs accumulent, souvent via ETF et plateformes régulées. On-chain, cela se voit très bien. Les vieux BTC bougent, les métriques de distribution changent de visage, et la courbe des profits/pertes se rapproche de ce que l'on observe après une introduction en bourse classique.
Novembre 2025 ne sera clairement pas "un mois de plus" dans la crypto. Entre les décisions de la SEC sur les ETF Solana et XRP, les airdrops XXL, les déverrouillages de tokens à plusieurs milliards et une rafale de conférences clés, le marché se prépare à une chaîne de gros catalyseurs comme on en voit rarement aussi serrés.
Le marché crypto boucle 2025 sur une note explosive. Nous sommes le 4 novembre 2025, et l'écosystème est méconnaissable. Bitcoin stabilise sa position de force autour de 104 260 $(et que les analystes visent 130 000$). Ethereum, lui, se maintient à 3 491 $, cinq tendances majeures se dessinent pour ces dernières semaines.
XRP n'avance plus. Le mot n'est pas trop fort. Depuis la rentrée, la cryptomonnaie de Ripple bute sur la même résistance, implacable : 2,5 dollars, seuil technique, mais surtout symbolique. On y sent le poids d'un actif usé par les cycles, encore debout mais sans souffle
Chaque cycle a ses signes avant-coureurs. En cet automne 2025, un graphique retient toutes les attentions. Celui de la dominance du Bitcoin, qui semble avoir du mal à chuter. Car il s'agit de la condition sinéquanone pour que le marché nous offre, à nouveaux, une altseason digne de ce nom.
Dogecoin a perdu sa voix. Ce qui fut un hymne populaire s'est mué en murmure. Depuis la fin de l'été, le marché semble tourner la page, lentement mais sûrement. Les portefeuilles anciens se vident, les whales s'effacent, et le Doge d'hier ne fait plus sourire que par nostalgie.
Quand Robert Kiyosaki parle, ce n’est jamais pour murmurer. En novembre 2025, il s’est à nouveau invité dans le débat,[…]
Nous assistons actuellement à l'un de ces moments charnières où le marché change de ton sans prévenir.